Carrefour
Atopos,
le temple s’érige et s'engloutit dans
l'éternité
tantôt au silence de l’écriture, tantôt au silence de
la musique.
Ornées d'un chérubin doré,
ses portes claquent
s'ouvrent et se ferment frénétiquement.
Il est,
sans fondation ni fondement,
au carrefour du dicible et de l’ineffable.
Ce temple abrite la frontière et l’exil,
Ce temple, c'est le mien.
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